soeur claude françois
Il n'en reste rien… Comme un grand coup de gomme, le temps a effacé ses refrains sans rime ni raison, ses refrains stupides et jusqu'à sa voix », « Le début des années 1960 est une époque de grands bouleversements pour la variété française. La chambre qu'il loue est en face de Radio le Caire, où il passe beaucoup de temps, écoutant en avant-première les disques français ou américains. Pour associer votre compte PassMedia avec votre compte Paris Match en toute sécurité, validez votre email : "Canal Football Club" : Pierre Ménès suspendu jusqu'à nouvel ordre, « Mud Slide Slim and the Blue Horizon » de James Taylor, Delphine de Vigan et Natoo : les connexions dangereuses, "Vivement dimanche" : les mots émouvants de Michel Drucker pour son grand retour, Une Cannoise de 72 ans en possession d'une peinture de Raphaël ? Dans la première partie de sa carrière, comme tous les chanteurs français de sa génération, il fait surtout des adaptations en français de titres américains et/ou anglais, ceux-ci n'étant pas diffusés ou étant tout simplement cédés directement à l'exportation pour adaptation. En 2008, le journal Libération avait déjà contesté le chiffre de 61 millions de disques vendus[117]. Claude François, tout petit, vit dans une maison bourgeoise d’Ismaïlia jusqu’à ce que les allemands bombardent la ville et détruise la belle villa de ses parents. Claude François a eu une grande soeur, Marie-Josée François, née 5 ans avant lui, en 1934. L'obtention de cette première partie était obligatoire pour passer en terminale et postuler au baccalauréat. Belles ! Il double une voiture, qui n'apprécie pas et le double à son tour, et ainsi de suite. Le 1er juillet 1972, il rachète un fanzine toulousain, Podium[45], pour un million de francs, et l'installe près de son hôtel particulier au 122, boulevard Exelmans[46]. Josette François, la soeur de Claude François, intime de la star jusqu'à sa disparition, s'est retirée très tôt de l'élaboration du film « Cloclo » produit par les fils du chanteur, a-t-elle indiqué mardi à l'AFP. Le magazine relate son comportement envers ses différentes compagnes, notamment son épouse Janet Woollacott, qu'il enferme « à clé [dans leur chambre de bonne], punie d’avoir souri à d’autres hommes en public »[91],[92],[93]. D'autres, selon le magazine Marianne, le désignent comme un individu au comportement « jaloux », « maladif », « paranoïaque » et « tyrannique »[91]. Juste après l'annonce de la victoire de France Gall au concours Eurovision de la chanson 1965, il fait savoir à celle-ci qu'il la quitte alors qu'elle doit retourner sur scène interpréter sa chanson[94]. Les 9 et 10 mars 1978, la BBC l’accueille dans ses studios suisses de la station de Leysin dans le canton de Vaud, pour y enregistrer Snowtimes, une émission spéciale qui doit être diffusée en deux parties : en mai 1978 et à Noël 1978 sur la BBC et qui constitue une nouvelle étape de sa carrière internationale. L'ensemble de sa discographie se partage entre trois majors du disque : Universal (ex-Philips) pour les titres de 1962 à 1972, Sony-BMG (ex-C.B.S.) Belles ! ». Le chanteur préféré des moins de dix ans s'est électrocuté dans sa salle de bains » (l'expression « a volté » est un jeu de mots faisant allusion aux élections législatives du dimanche 12 mars)[71]. Ayant plusieurs côtes fracturées, il reste immobilisé cinq semaines durant. Cette année-là, il enregistre avec Martine Clémenceau le duo Quelquefois[44]. Lors de ses quinze années de carrière, il est un des artistes français les plus appréciés du public. Jusqu'en 1965, le baccalauréat comportait une première partie, et une deuxième partie. Les Claudettes (ou Clodettes) sont les célèbres danseuses de Claude François ; les premières à avoir dansé en petite tenue devant les caméras de la télévision française. Prise en main par l'imprésario Paul Lederman, sa carrière démarre véritablement. Les tireurs abandonnent lorsque le chanteur s'engage dans la petite route qui mène au moulin. Ses parents le placent en internat dans une école confessionnelle. Claude François, le « mal-aimé », chanteur populaire quarante ans après, La parolière Vline Buggy évoque son Claude François : « On ne pouvait que l'aimer », Attentat Hilton Londres : interview Claude François, Cloclo, un business «forever» qui génère des millions, La cave de Claude François mise aux enchères à Drouot, Trente ans après sa mort, Claude François est toujours rentable, Le label Because rachète les droits de l'œuvre de Claude François. En 1971, il enregistre plusieurs titres (C'est la même chanson, Bernadette et Réveille-moi[37]) à Détroit aux États-Unis, dans les studios de la Tamla Motown, avec les Funk Brothers qui assuraient la plupart des enregistrements des groupes de ce label nord-américain[20]. Ses deux frères, l'un violoniste, l'autre pianiste, accompagnaient les films muets, puis ont joué pour le Five O'Clock Tea de l'armée britannique qui occupait le canal de Suez lors de la Seconde Guerre mondiale[3]. Avec "Curiosity", Sophie d'Ivry donne la parole à un rover martien de la Nasa. Il se délasse en jouant de la tumba dans un petit orchestre qu’il a formé avec quelques copains. Il commence son spectacle par My Way qu’il doit bisser. nécessaire] (voir Discographie étrangère). Claude François a fait la couverture de 219 magazines de son vivant et de 186 autres entre mars 1978 et mars 2006[123] et a été l'objet de 73 livres et biographies depuis sa mort[124]. Elle se rendait à Paris pour y faire des photos de mode. Il travaille désormais avec le compositeur Jean-Pierre Bourtayre comme directeur artistique et installe son quartier général au 122, boulevard Exelmans à Paris (où une plaque lui rend désormais hommage). Le chanteur et ses passagers s'en sortent indemnes[101],[102]. l'occasion de la sortie de son autobiographie "Claude Fran?ois, mon fr?re" aux ?ditions Hors Collection. Ses nouveaux disques, Éloïse en début d’année et Tout éclate, tout explose en fin d'année, sont des succès[12]. Côté sentimental, il fait la connaissance de France Gall, jeune chanteuse de 17 ans (lui en a 25). Il bat tous les records de recettes établis par Édith Piaf et Gilbert Bécaud et à chaque apparition, déclenche des scènes d'hystérie collective[28]. Claude Antoine Marie François, je suis né le 1er février 1939 à Ismaïlia en Égypte, décédé le 11 mars 1978 à l’âge de 39 ans à Paris.Je suis connu en temps que chanteur populaire avec des titres tels que : Belles ! Claude François se fait engager dans la formation d’Olivier Despax, les Gamblers, au poste de percussionniste, mais les cachets sont maigres[14]. Alain Chamfort suivra. Dans les années 1971-1973, ce sont des chansons de charme qui prédominent, marquées par le retour de la voix et de la mélodie tandis que durant la dernière période (1974-1978), il enchaîne des titres marqués par un tempo secoué par le rythme du funk, du reggae, de la country rock, de la bossa nova et enfin du disco[121]. Son fils, Claude François Junior, mentionnant notamment cet article de Lena Lutaud, souligne diverses erreurs et approximations qu'il contiendrait et déclare sentir, « sur cet anniversaire une espèce de vent contraire, où d'un seul coup quelqu'un a ouvert une porte, et que tout le monde s'autorise à dire du mal »[137]. L'été venu, il fait une tournée donnant lieu à un film de Claude Vernick au titre éloquent, L’été frénétique[27]. Dans une étude musicale qui est consacrée au chanteur, le philosophe Philippe Chevallier note que dans ses adaptations, Claude François sait « repérer les forces et les faiblesses d’une chanson », la modifier avec ses arrangeurs et « la dynamiser », permettant « souvent [que] les adaptations soient meilleures que l’original », à l'exception notable des reprises de la Motown qu'il ne peut au mieux qu'égaler[38]. À l'été 1961, il monte à Paris sur les conseils de Brigitte Bardot et de Sacha Distel[12] rencontrés sur la Côte d'Azur (Claude François a donné des cours de danse à Brigitte Bardot dans la boîte de nuit le Papagayo à Saint-Tropez) ; il est accompagné d'une jeune danseuse d'origine anglaise, Janet Woollacott, rencontrée en 1959 lors d'un spectacle et épousée le 5 novembre 1960 à Monaco. En 1958, Claude François, à la recherche d’un travail, devient employé de banque. Il y retrouve Dalida avec qui il chante en duo Ciao ciao bambino, Come prima et Volare. Le même mois, son passage à l'Olympia – seize jours à guichets fermés – est un nouveau succès avec son spectacle à l'américaine où il est accompagné de quatre danseuses, huit musiciens et l'orchestre de l'Olympia[20]. », « Lors d'une séance de dessin, Michel avait soufflé à Claude l'idée de monter un show avec des danseuses, qui devinrent les Clodettes." Il obtient la première partie du baccalauréat[Note 4] mais pas la seconde. En 2018, à l'occasion du 40e anniversaire de sa mort, les médias se focalisent sur son « attirance pour les jeunes filles »[79],[85],[86], notamment après l'entretien donné par sa prétendue fille, Julie Bocquet, dont la mère aurait été mineure au moment de la naissance[79],[80],[81],[87]. […] A chacune de ses apparitions, Claude déclenche de véritables hystéries collectives. L'année 1969 est une année faste sur le plan familial et le plan professionnel. Tirant à 400 000 exemplaires au milieu des années 1970, il supplante même Salut les copains[Note 8] de Jean-Marie Périer dont Claude François, omniprésent directeur de la rédaction, a débauché l'assistant Gilbert Moreau[47]. Ironie du sort, un électricien était venu le mardi matin précédent pour des problèmes électriques dans son appartement mais n'avait pu accéder à la salle de bains : il aurait fallu, pour l'atteindre, qu'il traverse la chambre dans laquelle dormait le chanteur, ce que sa secrétaire Françoise avait exclu pour éviter de le réveiller, aussi un autre rendez-vous avait-il été pris le 13 mars[69]. est une adaptation d'un morceau des Everly Brothers intitulé Made To Love). Claude François, surnommé « Cloclo », né le 1er février 1939 à Ismaïlia (Égypte) et mort accidentellement le 11 mars 1978 à Paris 16e, est un chanteur, danseur, musicien et producteur musical français des années 1960 et 1970. ), « Je ne suis pas mort, je dors : grâce à la chanson que Michel Sardou a implicitement dédiée à son ami et concurrent malheureux, nous savons que Claude François s'est engagé dans l'immortalité et le cycle éternel des réincarnations. », « L’Anglaise Janet Woollacott a été mariée à lui de 1960 à 1967. Bonnes affaires soeur claude francois ! », « Ainsi, du 10 au 13 avril 1972, il enregistre son émission intitulée « Avec le cœur ». Ils l'inscrivent ensuite au lycée français du Caire comme externe (1953-1956). C'est la stupeur dans la France entière. Jean-Pierre Bourtayre, s'inspirant des sources de la Motown, lui compose ses plus grands succès. Il doit également s'acquitter d'un arriéré d’impôts de quelque 500 000 francs[20]. Parmi ses musiciens, figurent Michel Cassez, dit Gaston, futur Compagnon de la chanson, et le pianiste de jazz René Urtreger. Sa participation à plusieurs émissions de télévision lui permet de se faire connaître auprès d'un large public. Nous chuchotions à voix basse comme s'il dormait, de crainte de le réveiller», avait-elle raconté en avril 1978 au magazine «OK! Durant toute l'année, il est omniprésent à la télévision, participant quatre fois à l'émission de divertissement Cadet Rousselle. Décédée le 13 novembre 2011 à l'âge de 73 ans, britannique, Janet était née à, « Isabelle Forest, la mère de ses deux fils », « à l’issue de la projection privée de « Cloclo », Isabelle Forest ne cache pas son émotion. ), je le regardais, tiré à quatre épingles, aussi nerveux que touchant… Daniel promit qu’il passerait son disque deux fois par émission tous les jours de la semaine… En 1962, l’émission de Daniel était la seule écoutée par toute la jeunesse du pays » (note 2 : Jean-Marie Périer, « "Quelque temps après, l'aventure se poursuivit avec Claude François. Au cours de l'année 1965, il enregistre une quinzaine de titres, dont Les Choses de la maison et Même si tu revenais[20]. a su conquérir des millions de fans depuis les années 60 ! En octobre, il sort Si j'avais un marteau, version française de If I Had a Hammer, composé par Pete Seeger et repris avec succès par Trini Lopez. Claude François meurt le 11 mars 1978, à 14 h 45, dans son domicile parisien, 46, boulevard Exelmans[63], d’un œdème pulmonaire[64] provoqué par une électrocution accidentelle dans sa salle de bains alors qu'il prenait un bain[65],[66]. Il demande à Michel Bourdais, portraitiste et documentaliste au magazine Salut les copains, de dessiner son portrait. Il y a une espèce d’horrible moyenne entre 18 et 30 ans[52],[88]. pour la période 1972-1975 et Warner (ex-Carrère) pour 1976-1978[112]. Mais lui a eu la naïveté d'en parler », « J’aime jusqu’à 17-18 ans, après je commence à me méfier. La Direction générale des impôts lui reproche d'avoir dissimulé pendant trois ans ses bénéfices personnels ainsi que les profits de deux sociétés de production et de ventes de disques dont les dirigeants sont sa sœur et son beau-frère, tous deux étant précédemment inculpés de complicité. Leurs trois enfants, Gustave, Elisa et Adolphe voient ainsi le jour successivement à Port Saïd, Suez et Ismaïlia[2]. Le navire accoste au Havre d'où les François gagnent Paris. Claude François s'y mêle aux jeunes enfants d'origine diverse (grecs, maltais, italiens, arabes) et y reste jusqu'à l'âge d'aller à l'école[4]. Le 24 juin 1973, une dépendance de sa propriété de Dannemois est la proie d’un incendie. Il avait du respect pour la musique [...], ceux qui chantaient juste, ceux qui jouaient juste [et] détestait par-dessus tout l'amateurisme »[120]. C'est en effet assez stupéfiant, et même proprement remarquable : stakhanoviste du vinyle, Claude François en vingt ans, a sorti des disques par dizaines, jusqu'à l'ivresse. Son père, qui ne lui parlait plus depuis deux ans, était malgré tout venu au mariage, avant de mourir d’une maladie des poumons le 19 mars 1961. «Je le revois chez lui, boulevard Exelmans, le visage paisible. En 1964, il achète l'ancien moulin communal de Dannemois dans l'Essonne, pour en faire sa résidence secondaire. L'événement est national et reste, aujourd'hui encore, d'après de nombreux sondages, l'un des plus marquants des années 70. Claude François, qui est en tournée, ne se rendra compte des dégâts que quelques jours plus tard. En 1970, sa chanson Parce que je t'aime mon enfant est adaptée en anglais et reprise l'année suivante par l'acteur Richard Harris[36] puis par Elvis Presley sous le titre My Boy. En octobre 1977, il est la co-vedette d'une émission franco-britannique, tournée à Honfleur et Deauville, et présentée par le chanteur Cliff Richard. Claude François fait également appel à divers compositeurs étrangers comme le Suisse Patrick Juvet pour le titre Le Lundi au soleil et le Britannique Roger Greenaway pour des titres en anglais, mais il fait surtout appel à des auteurs-compositeurs français comme Éric Charden (Mais quand le matin, Aida), Alice Dona (C'est de l'eau, c'est du vent, Un peu d'amour, beaucoup de haine, Gens qui pleurent, gens qui rient), Alain Le Govic (plus connu sous le nom d'Alain Chamfort), Jacques Revaux (Comme d'habitude) et plus exceptionnellement Serge Gainsbourg (Hip Hip Hip Hurrah en 1967), Didier Barbelivien (Dimanche après-midi et Mandy en 1976). Il donne ce qui sera son dernier concert le 24 février 1978 à Lyon[61]. C’est-à-dire que je suis fidèle avec l’esprit mais pas avec le corps », « Claude François voulait conserver son image de séducteur, d'homme libre pour ses fans. Le tournage terminé, passé minuit, il file, sur l'autoroute du Sud, vers sa résidence de Dannemois[Note 11] avec sa compagne, son chauffeur, son habilleuse et une programmatrice d'Europe no 1. Claude Antoine Marie François naît le 1er février 1939. Après un séjour dans une chambre d'hôtel, les François, fatigués de demander des subsides auprès de la Compagnie du canal de Suez, partent en train pour Monte-Carlo où réside, depuis son mariage l'été précédent, leur fille Josette[7],[8]. Chargé d'apurer les dettes (15 millions de francs) et de gérer l'héritage, le temps que Claude Jr et Marc François soient majeurs, il met plusieurs années à redresser les finances et doit vendre pour ce faire le moulin de Dannemois et le magazine Podium[103]. Claude François est avant tout un interprète. Mais la situation rester précaire. Ils divorcent le 13 mars 1967. Les enfants sont scolarisés à l'Institut Stanislas de Cannes[77],[78]. Ils vivent dans une certaine pauvreté : dans son autobiographie, Claude François affirme qu'il dormait par terre sur le sol de l'appartement, volait à l'étalage, se nourrissait de pain trempé dans de la vinaigrette, ce qui lui aurait causé un ulcère à l'estomac l'exemptant de son service militaire[10]. Dans un premier temps, Coco, le fils aîné de Claude François, installé aujourd'hui à Bruxelles, et Marc François touchent un seizième des droits d'auteurs provenant des titres du catalogue de Jeune Musique SA[107]. Il ne compose et n'écrit que très peu de chansons mais elles sont un indice de ses préoccupations personnelles. ». À la demande de ses proches, le chanteur est embaumé, à l'instar d'Elvis Presley[67], et vêtu d'un costume en velours bleu nuit et d'une simple chemise blanche, avant d'être enterré au cimetière de Dannemois dans le caveau familial[72]. Alain-Dominique Perrin, PDG alors de Cartier, homme d'affaires réputé et l'un des amis du chanteur disparu, est nommé exécuteur testamentaire. Claude François a une sœur aînée, Marie-Josée François, dite « Josette », née le 28 août 1935 ; elle a écrit, en 2008, un livre de souvenirs, Claude François, mon frère[Note 3]. Le 15 décembre, il chante devant 20 000 spectateurs survoltés au Parc des expositions de la porte de Versailles au profit de la fondation Perce-neige en faveur de l'enfance handicapée[12]. Tous droits réservés. Recherchez vos ancêtres sur la première base de données généalogique européenne. Claude François, surnommé « Cloclo », né le 1 février 1939 à Ismaïlia (Égypte) et mort accidentellement le 11 mars 1978 à Paris 16 , est un chanteur, danseur, musicien et producteur musical français des années 1960 et 1970. La famille de Lucia est originaire de Calabre, en Italie. Marc François cède par la suite ses parts dans Jeune Musique SA[Note 13] à son aîné. En septembre 1976, à l'occasion d'un cocktail organisé pour le lancement du parfum Eau noire qu'il a créé, devant un parterre de quelque quatre cents invités, il arrive avec, au bras, Kathalyn Jones, sa nouvelle compagne blonde, rencontrée dans l'avion en juillet, au retour d'un voyage du chanteur aux États-Unis. Et même quand je suis fidèle, je suis volage car je suis fidèle à ma façon. Claude François, un chanteur antifrançais ? Après une « histoire de cœur » avec la chanteuse Annie Philippe, rencontrée en tournée mais qui refuse de l'épouser, il se console avec Isabelle Forêt, blonde aux yeux bleus et mannequin de son état, qui devient sa compagne. claude françois, soeur En septembre 1964, Claude François fait à nouveau l’Olympia mais cette fois, c'est en vedette qu'il chante chez Bruno Coquatrix. À l'automne 1962, il obtient son premier succès, avec Belles ! Mariée puis divorcée, elle n’a jamais eu d’enfants. Claude François a édité 27 albums de 1962 à 1978. Son attirance pour les femmes[49] l'amène à créer le 21 mai 1974 la revue de charme Absolu afin également de concurrencer des titres comme Lui ou Playboy dans la catégorie presse de charme[49],[50]. La seule chose qui comptait à ses yeux »[73]. Claude François et sa sœur sont alors recueillis par leur grand-mère paternelle qui habite une vieille maison proche des quartiers populaires. Concernant la presse d'opinion, l'écrivain et philosophe Philippe Chevallier affirme que « dans le domaine de la chanson populaire, [il n'y a] pas de chanteur plus méprisé par les faiseurs de culture » que Claude François[127], notant que, « de Claude Sarraute dans les colonnes du Monde en 1964 à Marcela Iacub en 2012 dans celles de Libération, les attaques furent sans pitié »[127]. La journaliste Isabelle Catélan décrit le chanteur comme un « personnage obsessionnel, maniaque, colérique mais aussi généreux, « bipolaire » »[79]. Il part se reposer aux îles Canaries mais à son retour, le 17 mai, il est victime d’un accident de voiture sur l’autoroute près d’Orange. Claude François adopte finalement le titre Y'a le printemps qui chante (Viens à la maison)[96]. Il me dit qu’il ne quitterait pas cet endroit avant d’avoir rencontré Daniel Filipacchi ; c’était presque une question de vie ou de mort. À 16 heures, la radio et la télévision annoncent sa mort par bulletin spécial. Un unique 45-tours pour Nicolas Pinelli, disque Flèche Phonogram, Face A : Marie-Christine Pouchelle, « Sentiment religieux et show business : Claude François objet de dévotion populaire », in Jean-Claude Schmitt (dir. Il est dépeint par des proches, Prisca (ancienne clodette) et Vline Buggy, comme quelqu'un ayant mauvais caractère, exigeant[89], caractériel, perfectionniste, travailleur, intelligent, doué, hypersensible et élégant[90], qui savait aussi s’excuser et se faire pardonner[89]. Ce mercredi 12 août, W9 diffuse un documentaire consacré à Claude François et intitulé Claude François, les derniers secrets. Le 16 janvier 1978, il donne un concert au Royal Albert Hall à Londres devant 6 000 spectateurs. Belles !, adaptation de Girls Girls Girls (Made to Love), composée par Phil Everly, des Everly Brothers, et interprétée initialement par Eddie Hodges, dont il s'est inspiré pour la version française et dont il cosigne les paroles avec Vline Buggy[15]. Il photographie alors des femmes nues, « parfois mineures »[51], sous le pseudonyme de François Dumoulin[12],[52]. En 1956, la famille François est expulsée d’Égypte (avec de nombreux Français et Britanniques) à la suite de l'intervention franco-britannique visant à s'opposer à la nationalisation du canal de Suez par le président Gamal Abdel Nasser. Elle souligne que si le chanteur vend encore environ 80 000 disques par an (selon Fabien Lecoeuvre)[136], que l'album de reprises de ses chansons par Matt Pokora a été un « triomphe »[136], que son moulin reçoit entre 7 000 et 12 000 visiteurs par an et que le documentaire Claude François la revanche du mal-aimé, diffusé en prime time sur France 3 en février 2018, a encore attiré plus de deux millions de téléspectateurs[136], en revanche la comédie musicale de 2003 consacrée au chanteur a déçu, tout comme le spectacle Hit Parade qui, en 2017, le faisait revivre sur scène via un hologramme aux côtés notamment de Mike Brant et Sacha Distel[136]. Avec son allure de jeune homme de bonne famille, ses chansons aux paroles agréables, il séduit un public féminin de plus en plus nombreux[20]. », Isabelle Forêt, Bernard Keller, Jany Keller (, « Claude et Janet emménagent dans un petit appartement à proximité de l'appartement de la famille François. Les cachets ne sont pas très importants […]. Par le major Bernard Jacquinot, Claude François toujours rentable, trente ans après sa mort, Claude François, quand il parlait d'amour, Claude François : les révélations explosives 40 ans après sa mort, https://www.linternaute.com/musique/magazine/1433233-claude-francois-comment-une-premiere-dame-a-sauve-sa-carriere/, Julie, la fille cachée de Cloclo : « Sortir de l’ombre va m’apaiser », https://www.rtbf.be/auvio/detail_claude-francois-aimait-les-adolescentes?id=2306801. De cette idylle naissait, quelques mois plus tard, Julie. Ses arrière-grands-parents paternels, Nicolas Joseph François, né à Saint-Maurice-sur-Moselle (Vosges) en 1835, et Marie Anne Delphine Callon, née à Mars (Ardèche) en 1845, se sont mariés en 1872 à Port Saïd (Égypte), où Nicolas Joseph François était télégraphiste pour la Compagnie du canal de Suez. Recordman toutes catégories ès tubes, ce prince de la ritournelle n'a laissé en nous aucune trace. Les fans de Claude François se souviennent certainement d’elle. Catherine Welch, Francine Chantereau, Martine Latorre et Dominique Poulain furent les choristes attitrées de Claude François sous le nom de groupe Les Fléchettes. Certains salariés sont même licenciés à plusieurs reprises avant d'être rappelés quelques jours plus tard[91],[95]. Cette hypothèse est confirmée par Josette, sœur de Claude François, lors d'un entretien en 2012[75]. Claude François (1939-1978), un mythe de la chanson française qui avait peur de tout. est son premier scopitone, réalisé par Claude Lelouch[12] : il chante dans la neige, dans un bois de la région parisienne, au milieu de jeunes filles dansant dans une tenue hors de saison[17]. En septembre 1964, Claude François fait à nouveau l’Olympia mais cette fois, c'est en vedette qu'il chante chez Bruno Coquatrix. Avec les Clodettes, il enregistre ses dernières compositions : The Vagabond, Bordeaux rosé (chanson du groupe britannique Kaleidoscope), Alexandrie Alexandra le 9, Day Dreamer, une adaptation franco-anglaise du Mal-aimé, et deux versions de I Believe in Father Christmas (chanson de Greg Lake), une chanson inédite[12]. En 1959, il fait partie, en tant que chanteur, de l’orchestre de Marcel Blanchi à l’hôtel Le Provençal à Juan-les-Pins[11]. À l'époque, la chanson française connaît un grand bouleversement avec la vogue du rock 'n' roll puis du twist et l'avènement d'une nouvelle génération de chanteurs que l'on ne tardera pas à appeler les yéyés, soutenu par l'émission de radio Salut les copains qui connait une grande audience auprès des adolescents[13]. L'ancien moulin de Dannemois est aujourd'hui partagé entre un musée et un club qui reçoit des chanteurs de l'époque. En septembre 1976, il lance son parfum, Eau noire composé à partir de vingt-cinq ingrédients[57]. Avec les chansons Magnolias for Ever et Alexandrie Alexandra[Note 7], écrites par Étienne Roda-Gil, le chanteur affiche sa volonté de renouveler quelque peu son répertoire. Le 24 juin, il est condamné à huit mois de prison avec sursis et 25 000 francs d’amende. Le loyer de ce studio est raisonnable et l'endroit un peu plus spacieux que leur chambre de bonne du boulevard des Moulins. ». Parallèlement à ses activités de chanteur, Claude François diversifie ses activités vers la presse jeunesse et la presse de charme mais aussi créé une agence de mannequins et un parfum qu'il commercialise. Michel Bourdais nous parle de Claude François, « son appartement parisien, où finalement, il tentera de refixer dans sa salle de bain, pour la énième fois, cette fichue applique », « À 16 heures, un flash spécial à la radio et à la télévision annonce le décès de Claude François. Sa mère le soutient toutefois dans sa passion pour la musique. La chanson, enregistrée en 1977, est commercialisée en 45 tours le 15 mars 1978, soit quatre jours après ses obsèques. Autre exemple, la modification du titre de Belles ! Belles ! Il passe à l'Olympia le 18 décembre, en première partie de Dalida et des Spotnicks[18]. Ainsi, en mars 1988, les journalistes Richard Cannavo et Marc Robine prédisent, dans deux articles de la revue Paroles et Musique, son « effacement prochain des mémoires »[127], estimant au passage que pour les « amateurs de bonnes chansons », le chanteur ne serait qu'un « pantin dérisoire et gesticulant », dont le temps efface ou a déjà effacé la voix et les refrains « stupides », « sans rimes ni raisons »[127],[128],[Note 14]. Belles ! Si sa rémunération lui permet enfin de vivre et de faire vivre sa famille, il est désapprouvé dans son choix par son père qui aurait voulu qu'il devienne comptable. Mais lui a eu la naïveté d'en parler »[79]. Enjoy the videos and music you love, upload original content, and share it all with friends, family, and the world on YouTube. Pour ses titres, il s'adjoint la collaboration d'un imprésario britannique, Richard Armitage, et fait appel à Norman Newell et Roger Greenaway pour réécrire en anglais plusieurs de ses chansons (Monday Morning Again, Love Will Call the Tune), ou pour composer des titres originaux (I'm Leaving for the Last Time, Keep On Driving[59]). Le site Paris Match est édité par Lagardère Média News, Vous disposez déjà d'un compte sur parismatch.com avec l'email. D'après Fabien Lecœuvre, qui gère la communication et la carrière posthume du chanteur, huit personnes auraient prétendu être ses enfants naturels[79]. Généralement, Claude François préfère faire appel à des paroliers qui lui écrivent un texte sur mesure. La soeur de Claude Francois, Josette pose dans son appartement, le 21 janvier 2008 ? Claude François rencontre Kathalyn Jones en octobre 1976. Il fréquente, de 1967 à 1972, Isabelle Forêt, mannequin et danseuse[Note 10], puis Sofia Kiukkonen, mannequin également, de 1972 à 1976[73]. Le 15 mars 1978, son nouveau 45 tours Alexandrie Alexandra arrive chez les disquaires, le jour même de ses obsèques qui ont lieu en l'église d'Auteuil à Paris, tandis que des milliers de fans pleurent à l'extérieur.
Slovakia Espoirs Vs Azerbaijan, Mexican Chocolate For Mole, François Roelants Photographe, Fréquence Lci Astra 2020, Caroline Roux Malade, Météo Bfmtv Mardi, Reportage Raid Bfm, Journaliste Chroniqueur Cnews, Hôtel Le Royal Chaumont,
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