les sept de chicago critique presse


► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄. Recrutement | Bizarrement et alors que le film a été tourné avant la pandémie, on peut trouver des similitudes intéressantes avec ce que l’on vit actuellement entre liberté d’expression bafouée et résurgence de régimes autoritaires. Le problème c'est que le film a été tellement dépolitisé avec aucune critique réelle des institutions, du système politique tout traitant vite fait de sujets d'actualité (Black Panther, violences policières) qu'il en devient juste vain. Quand la justice n'est que parodie, quand les accusés ne sont que des exemples dissuasifs que l’État veut donner, quand la liberté d'expression (le fondement même d'une démocratie) est bafouée : voici Les Sept de Chicago. En 1968, à Chicago, lors de la convention chargée de désigner le candidat démocrate de la prochaine élection présidentielle, des manifestants pacifistes venus d’horizons différents se réunissent pour protester contre la guerre du Vietnam. Seul Bobby Seale sera "absent" du procès (membre des Black Panthers, il dénoncera le racisme du juge, puisque ce dernier se retrouvera privé d’avocat, mais bel et bien présent aux audiences). Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. Peut-être qu’une mini-série aurait été plus opportune. Guy Ritchie, avec Revue de presse | Le film dénonce les agissements du gouvernement en place à cette époque, y compris ceux du juge Julius Hoffman, un homme de loi totalement abjecte et qui ne cherchera jamais à mettre en place un procès équitable. https://www.allocine.fr/film/fichefilm-130085/critiques/spectateurs "Les Sept de Chicago" est un grand film de procès (et de justice) porté par un montage fabuleux et le scénario électrisant de Sorkin. Il y avait beaucoup à dire, et manifestement Aaron Sorkin aurait peut-être dû recourir à certains infidélités historiques pour développer une narration plus eurythmique. Sale époque (Nixon, guerre du Vietnam) où les institutions américaines sont respectables mais les gouvernants pas du tout ! 107 abonnés De plus, il y a beaucoup de personnages et les deux heures du film ne permettent pas de bien les cerner tous comme il le faudrait pour qu’on s’y attache. CGU | Dommage toutefois que le personnage du procureur interprété par Joseph Gordon-Levitt (et dont on saisit pourtant des contradictions très intéressantes), demeure au second plan. Vraiment pas ! Je n'ai littéralement pas vu passer les 2 heures tellement j'ai été embarqué par le scénario et les dialogues. Les Sept de Chicago a donc une signification particulière, d'autant plus que le scrutin présidentiel s'ouvre dans quinze jours. Le projet des Sept de Chicago date de plus d'une décennie. Malgré la bonne mouture et le grand plaisir éprouvé à découvrir ce fait important (méconnu en France), on ne voit pas bien en quelle catégorie ce film pourrait concourir : tout est absolument académique, aucune prise de risque quelle qu'elle soit. En France, le site Allociné recense une moyenne des critiques presse de 4,3 ⁄ 5, sur un total de 6 critiques presse. Lire ses 1 025 critiques, Suivre son activité La puissance des dialogues, de l’histoire évoquée et une distribution royale sont les forces de ce film politique et enflammé. Après l’élection de Nixon, le nouveau procureur général (qui dirige le ministère de la justice) décide de revenir sur ces événements et de lancer une procédure contre sept des organisateurs… Malheureusement, la pandémie est passée par là et la sortie en salles ne verra jamais le jour. Il n'a aucune ambigüité, il ne change pas, c'est un bon gars, il a le sens du devoir, mais on n'explore même pas le dilemme... Il est juste transparent. Tu prends un bon acteur et tu le fais raconter comment les policiers ont caché leur nom, leur insigne pour pouvoir les frapper sans avoir de répercution, tu prends un bon acteur (pas Redmayne donc), la salle (de cinéma et du tribunal) a le sang glacé. Un film poli et chargé à blanc. Critique du film Aaron Sorkin avait écrit la première version de son script en 2006 suite à une visite chez Steven Spielberg qui se disait intéresser par l'histoire. Un beau casting (Cohen en grande forme), une intrigue plaisante à découvrir, et un Juge qu'on adore détester. 232 abonnés Le film est passé directement sur Netflix. Il n'y a aucune tension dans les échanges, ce ne sont même pas des joutes verbales. Pourtant "Les Sept de Chicago" est le genre de grand drame judiciaire, capable de faire vibrer une salle et de concourir aux Oscars. Il y a aussi des scènes inutiles comme celles de stand-up avec Sacha Baron Cohen et un final pas aussi émouvant qu’il aurait voulu être. Il y a les accusés, leurs avocats, les politiques et les juges qui jouent tous un rôle plus ou moins pivot mais auxquels le peu de temps imparti leur confère parfois juste un emploi fonctionnel. 1785 abonnés Aaron Sorkin signe un film de prétoire haletant et engagé, qui peut se voir comme un regard sur l'Amérique de 2020. Peut-être qu’un montage chronologique et des retours en arrière auraient été plus indiqués ? Les Sept de Chicago 2020 | 16+ | 2 h 10 min | Films inspirés de faits réels Quand la manifestation pacifique a dégénéré en affrontement violent avec la police, elle a donné lieu à l'un des procès les plus retentissants de l'histoire du pays. À ce titre, on rit autant qu'on hallucine devant les scènes de prétoires (qui composent le cœur du film, évidemment), durant lesquelles on assiste aux viols répétés des droits constitutionnels par ceux-là même qui devraient les protéger. Lorsque les accusés se retrouvent à dire "rejetée" à chaque fois que quelqu'un émet une objection car on sait par avance que le juge va rejeter l'objection, il n'y a rien qui se passe parce que la scène sert juste à faire cette blague. Il fallait qu'il sorte. Sorti le 16 octobre dernier sur Netflix, Les 7 de Chicago réunissait dans un film de procès nécessaire, un casting cinq étoiles. Un procès gigantesque (plus de 150 jours ! Sorkin n'a même pas repéré les grands moments forts de son récit, c'est une tragédie de voir ce film. Politique de cookies | Le réalisateur nous replonge en plein cœur des années 60 aux Etats-Unis. 87 abonnés Celles-ci entremêlées ingénieusement et naturellement au récit font du long-métrage d’Aaron Sorkin une œuvre rythmée, puissante et percutante que l’on prend très rapidement au sérieux. Ici non, on a une pauvre séquence avec un filtre dégueu sur l'image qui dure 20s et c'est fini. Sorkin n'ose pas faire durer ses séquences, tout va très vite (et tout se ressemble un peu), alors qu'une construction plus audacieuse aurait été d'axer vraiment le film sur des moments précis du procès. Percutant. Gagarine, The Nest, Falling, Suivre son activité Le film pointe aussi les dysfonctionnements de la justice américaine de l’époque qui existent encore aujourd’hui. Ou peut-être que de mettre le procès au centre du film n’était pas une bonne idée ? Lire ses 922 critiques, Suivre son activité Mais la grève des… Mention spéciale à l’hilarant passage d’un ex-Batman. Tant pis. Un simulacre de procès superbement mis en scène et porté par une brochette d’acteurs tous plus brillants les uns que les autres. En fait aucun des personnages n'existe vraiment, ils ont beau se chamailler un peu sur les différents types de révolution ça reste tous des patriotes américains qui ne proposent aucune réflexion vraiment profonde sur la société américaine et sur le pouvoir en place. Mise en scène, dialogues, interprétations, tout est au top ! Aidé par un casting exceptionnel, et ayant certainement appris de ses erreurs depuis Le Grand jeu (voir notre critique), le réalisateur ne fait pas dans la surenchère, offrant alors un récit relativement sobre et vraisemblable. Comme aujourd'hui, les institutions sont le terrain d'un conflit sur les fondements même des États-Unis. Lire ses 1 689 critiques, Suivre son activité La force première de « Les Sept de Chicago » demeure en toute logique les dialogues ciselés et impeccablement mis en bouche de Sorkin notamment lors des joutes verbales au sein du tribunal. Vladimir Orlowski, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire Teaser VF. On retrouve dans ce film tout ce qui fait la réussite des oeuvres de son auteur : des dialogues en rafale, un rythme mené tambour-battant ainsi qu'un propos pertinent. Lire ses 1 037 critiques, Suivre son activité : Avec Les Sept de Chicago (2020), on se retrouve donc en 1968, lorsque la convention nationale démocrate doit se tenir à Chicago. Soit la période où le pays fut le plus déchiré...ex æquo avec l'actuelle. Les Sept de Chicago est un projet de longue date qui reposait depuis longtemps dans la tête d’Aaron Sorkin. Avec sa distribution de haut vol, rarement on aura vu un long-métrage dont le découpage scénaristique et visuel frôlent la perfection. Énorme casting, d'où ressortent peut-être Franck Langella en juge rétrograde et Marc Rylance en avocat sur la corde. Dans ce film historique, l’utilisation des images d’archive est d’ailleurs très importante. Besoin de vous faire un dessin ? plongé dans le chaos de la fin des années 60, de la guerre du vietnam, des émeutes et du mouvement black panthers, ce procès montre un système politique et juridique gangrené et dominé par la classe blanche. Finalement, après moult péripéties, on en est arrivé à nommer le scénariste réalisateur du film et à caster d'autres acteurs, pour un film plus ambitieux. CGU | ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute), Avec Politique de cookies | Le film est ciselé pour nous faire sentir cela : un montage dynamique, une pression constante, des répliques au cordeau et des acteurs vraiment impliqués. ), qui a réuni de grandes figures de la contestation contre la guerre au Vietnam et les discriminations et qui s'est révélé être un désastre. Des hommes de différents horizons et de formations politiques diverses (souvent assimilées à la gauche radicale) qui protestaient contre la guerre du Vietnam. "Les Sept de Chicago" reste un film très intéressant, qui réussit à interpeller le spectateur. Déstabilisé comme tout le monde par l'apparition d'un certain virus qui paralyse l'industrie, notamment les exploitants de salles, le nouveau film de Aaron Sorkin devait être vu cet automne. Et que dire du juge est une caricature de juge malveillant. Critique Netflix. Revue de presse | Jason Statham, Jeffrey Donovan, Contact | Données Personnelles | Will Smith et Heath Ledger étaient alors pressentis. Préférences cookies | Ce film sous forme de procès qui a pour héros les sept "chefs" des associations de refus d'engagement dans la guerre du Vietnam (les étudiants, les yippies...) nous met vite dans sa poche : casting alléchant (Mark Rylance, Eddie Redmayne, Sacha Baron Cohen, Joseph Gordon-Levitt...) mêlé à un procès totalement inégalitaire, truqué et fondamentalement injuste. On a à un moment donné un militant des BP qui se fait assassiner violemment, mais dans le récit de Sorkin c'est juste une péripétie, on ne s'y attarde, on ne s'y arrête pas, c'est rien, ça sert juste à entraîner plus tard un vice de procédure. 316 abonnés On voit clairement que le film est fait pour plaire, quitte à donner dans le bon sentiment (le discours final, les épilogues) ou quelques entorses à la réalité, mais cela ne gêne pas vraiment le visionnage, on aurait même préféré qu'il aille plus loin dans le drama, car c'est parfois trop propre (le démarrage laborieux et le personnage Black Panther dont on ne fait rien), car les acteurs sont bons sans pouvoir tirer leur épingle du jeu (peut-être Sacha Baron Cohen, qui s'amuse bien dans son rôle, étant le plus intéressant des sept accusés), et l'on se questionne carrément sur le titre "film à Oscars" que l'on voit fleurir un peu partout. Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion. La reconstitution historique de ce thriller politique se révèle passionnante, tout comme ses interprètes. Les services AlloCiné | Et cela n’est probablement pas un hasard. Les Sept de Chicago relate l’histoire du procès de sept organisateurs de manifestations contre la guerre du Vietnam à l’origine d’affrontements contre la police en 1968. Qui sommes-nous | Aaron Sorkin, probablement meilleur scénariste que réalisateur, propose un film souffrant un peu du classicisme de sa réalisation. Lire ses 866 critiques, Suivre son activité Lire ses 302 critiques, Suivre son activité 140 abonnés Sacha Baron Cohen, Mark Rylance, Jeremy Strong, Joseph Gardon-Levitt, Frank Langella, Michael Keaton, Eddie Redmayne,...Et là je ne parle que des premiers noms sur l'affiche. 36 abonnés C'est un pur délice de les voir railler, invectiver, et s'élever parmi les leurs. Lire ses 1 669 critiques, Suivre son activité Recrutement | Son réquisitoire fait mouche : quand l'Amérique tourne le dos à ses valeurs fondatrices, elle perd son âme. On a même du mal à bien retenir tous les prénoms des protagonistes. : Communiqué de presse - Les Sept de Chicago: Le procès de huit hommes accusés de conspiration lors de la Convention démocrate de 1968. Il noircit les pages du script et fait chauffer la caméra ici. C’est donc assez intéressant sur le fond et on peut faire d’intéressants parallèles contemporains. Histoire d'appuyer bien comme il faut, le film s'attaquera au procès historique de plusieurs figures contestataires à la fin des 60's, alors que l'intervention miliaire au Vietnam déchire l'Amérique. Avec autant de têtes d’affiche, il était évident que l’ensemble allait faire des étincelles. [...] La politique se niche parfois dans les détails, le génie d’Aaron Sorkin aussi. Parmi les activistes arrêtés (accusés de conspiration & d’incitation à la révolte), sept se retrouveront devant le juge (John Froines, Lee Weiner, David Dellinger, Rennie Davis, Tom Hayden, Abbie Hoffman & Jerry Rubin). Le cinéaste mène son procès sans aucun temps mort, tout en restant extrêmement minutieux sur les faits. C'est juste rien. Gagarine, The Nest, Falling. Situé en 1969-1970, initié en 2007, Les Sept de Chicago ne pouvait pas mieux tomber qu’en 2020. 41 abonnés Quoiqu'il arrive. Une riche mise en images d'un révélateur fait divers. Plus qu'une simple reconstitution historique, sa résonance avec l'actualité en fait d'ailleurs une oeuvre universelle et intemporelle d'autant plus marquante. Les jeunes se rebellent contre les institutions et le gouvernement, un climat insurrectionnel se fait ressentir et c’est clairement cela que nous fait ressentir le film (d’ailleurs, ce contexte si particulier est aussi palpable à l’étranger, pour preuve, le mouvement de Mai 68 en France). Au programme de La Critique cette semaine : le nouveau film d'Aaron Sorkin (scénariste de The Social Network de David Fincher, créateur de la série À la Maison Blanche) Les Sept de Chicago disponible sur Netflix (avec Yahya Abdul-Mateen II, Sacha Baron Cohen, Mark Rylance et Joseph Gordon-Levitt) et un état des lieux de … « Les Sept de Chicago » : l'Amérique face à elle-même. Les evenements se sont déroulés aux Etats Unis il y a de celà 50 ans mais le sujet (notamment manipulation des faits, intimidation des suspects) reste malheureusement toujours d'actualité. Les « 7 de Chicago », c’est le récit d’un procès forcément politique avec un juge partie prenante pour un ordre social suranné qui n’hésite pas à faire ligoter et bâillonner Bobby Seale aux yeux de tous dans le tribunal sans comprendre à quel point cette violence est devenue insupportable devant une forêt de caméras et de micros prêts à en témoigner. Le temps paraît long parfois... Second long-métrage pour Aaron Sorkin, si son nom ne vous dit rien, on lui doit (entres-autres), le scénario de The Social Network (2010) & Steve Jobs (2015). Encore une fois, sans surprise, ça fait mouche. Les Sept de Chicago. Difficile à dire mais quelque chose cloche et tout n’est pas fluide narrativement. Le maire sait ce qu’il l’attend et se prépare à faire face aux manifestants en y déployant près de 12000 officiers, plus de 5000 membres de la garde nationale & 5000 soldats. Un film crucial, magnifiquement écrit, réalisé et mis en scène, à voir absolument donc. Lire ses 1 317 critiques, Suivre son activité Malheureusement cet exemple est reproductible pour tous les personnages (enfin ceux qui existent, il y en a qui sont justes inexistants, on voit de temps en temps leurs têtes mais c'est tout), ils sont monomaniaques. Grand film sur l'engagement politique, «Les Sept de Chicago» est aussi et surtout un plaidoyer pour la liberté d'expression. Le tout est emballé avec la ferveur qu'on attendait, même si le scénariste/metteur en scène n'a ni la maestria d'un David Fincher ni l'effervescence d'un Danny Boyle. Le cinéaste fait un feu d’artifice de points de vue, démontrant que l’altérité demeure toujours une force, surtout dans un même camp. Brillant et percutant. Lire ses 6 149 critiques, Suivre son activité ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). Ce n'est pas sérieux. Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Un des meilleurs films de l’année 2020 et un concurrent sérieux pour les … S'ils sont tous à féliciter pour ces joutes (la valeur ajoutée de Sorkin), Sacha Baron Cohen et Mark Rylance sont à mes yeux les plus impressionnants du lot.

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