comment insulter quelqu'un avec classe


Oh ! 32 ans, préparateur en pharmacie. Le 16 novembre 1962, tue à coups de hachette Mohamed Hadji - qui devait s'embarquer prochainement pour Alger - pour lui voler 1450 francs et jette le corps dans une canalisation souterraine. Réveillé à 5h30. Entend avec résignation l'abbé Tamine l'exhorter au courage. Sa belle-soeur allait se marier et emporter avec elle, hors de la maison Ducaux où elle demeurait jusqu'alors, ses meubles et ses biens ! Foule bruyante sur le cours Charlemagne qui fait enfin silence quand le fourgon arrive. Un petit sourire aux lèvres, il regarde la guillotine de haut en bas avant d'être poussé dessus. Je ne suis pas de ceux qui planchent." Gabriel Deschins, 15 ans, est condamné à vingt ans d'emprisonnement. Réveillé le premier à 5H30, Berruyer saute de son lit à peine lui a-t-on effleuré l'épaule. Mais se montre calme. Quand sa chemise est découpée, il demande à son avocat, Me Planty, de l'accompagner jusqu'au pied de l'échafaud, ce qui est fait. Dit qu'il s'y attendait depuis plusieurs jours. Pâle mais calme, s'habille seul. PARRICIDE, 33 ans, fermier. Réveillés à 4h50. Quand les ciseaux découpent son col : "Ah, c'est fini, ma bronchite..." Tente de saluer le gardien-chef, mais déjà poussé vers l'extérieur par les aides. Poursuivis, sur le point d'être rejoint, Frid tire sur un agent qu'il blesse, mais est arrêté quand son arme s'enraye. Qui sait, peut-être qu'eux aussi ont été harcelés par les mêmes personnes. D'un ton excédé, il dit : "Allons-y !" "Bourreau, fais ta sale besogne, j'offre ma tête pour ma chère patrie." Frintz se confesse, écrit à sa famille. Au procureur, donne une lettre destinée au vice-consul d'Italie, dans laquelle il dénonce les mauvais traitements que lui a infligé l'un de ses gardes. Auteur d'un assassinat en 1913 envers un photographe du boulevard des Batignolles. En aperçevant la guillotine à l'entrée de la prison, s'arrête un instant et murmure : "La voilà !" 23 ans, jardinier, déserteur de l'armée espagnole. Je ne veux pas !". Sa glande thyroïde est greffée à une fillette, ce qui la sauvera. La petite Marie Rousselle, 8 ans, fille d'une de ses complices et présente lors du double crime, les trahira le 24 février 1872. Communie. Mme Villerel est condamnée pour complicité à cinq ans de prison avec sursis. Embrasse le prêtre et son avocate, Me Loewenstein. La vie a épuisé ma sagesse, mais il y avait du bon en moi. Le 09, avec l'aide de son épouse, pend à un arbre du bois de Ressuveille sa fille Emilienne, 5 ans, témoin gênant de la mort de son grand-père, puis cache le corps dans un fossé. le patron s’en fout car il a fait venir quelqu’un … Du réveil à l'échafaud, très calme. 25 ans, vigneron. Quand les officiels entrent dans sa cellule, à 2h50, Watrin est déjà debout et leur sourit. Ayant cédé à son fils et à sa bru ses biens en viager, le fermier est pris d'une hargne à leur encontre. Puis il maudit Duchemin : "C'est toi qui nous as mis là ! Pendant la toilette, prend une chique de tabac et un verre de genièvre. 32 ans, manoeuvre. Aucune réaction violente. Satyre assassin de Thérèse Rouault, 09 ans, qu'il assomma, viola et étrangla avant de lui écraser le visage à Pléneuf le 12 juin 1937. Devant la machine, crie "A bas la France, vive la Russie, mort au capitalisme !". Condamné à Rouen, cassé, recondamné dans l'Eure. Au greffe, accepte un verre de cognac et prétend n'avoir aucune dernière révélation à faire. Après un entretien avec l'aumônier, prend un verre de rhum et une cigarette. Tua pour la voler le 7 février 1893 Mlle Angélique Falguier, rentière, 60 ans, rue Berthe à Paris. Loeuillette reste hébété, Cadet est ferme. Refuse le verre de rhum au greffe. Très peu de sang versé : vraisemblablement mort d'un arrêt cardiaque une seconde avant la chute du couperet. Aucun regret au réveil, à 5h50. Tissier l'abat d'une cartouche de fusil de chasse en pleine poitrine, avant d'aller manger, se raser et se dénoncer aux gendarmes. Peu de monde présent à cause des averses. En la terminant, dit : "Autant s'arrêter maintenant, sinon, j'écrirais encore comme cela pendant 24 heures." Conduit à la chapelle, on veut le faire communier, mais il refuse. Déjà réveillé à 7h10, presque habillé, assis sur son lit. Assassina pour les voler le 18 juillet 1894 les bûcherons Jean Carrette, 50 ans, Claude Lapierre, 53 ans, et Elie Tortillot, 60 ans, dans les bois de Nancelles, commune de Saint-Sorlin, en les frappant à coups de branche puis en les achevant au couteau. Devant la guillotine, l'huissier Arthonzoul lit l'arrêt de mort. S'habille, remercie le directeur et le gardien, puis se rend à la chapelle pour entendre la messe et communier. Il se confesse, entend la messe, mais refuse de communier. Entend la messe. Mais la mort suspecte éveilla les soupçons du vieux domestique, Emile Mignot. Feghoul se montre ferme. Je compte sur vous." Le 23 mars 1914, assomme à coups de gourdin à Maxéville le débitant de boissons Deleau pour voler sa caisse, qui contient cent francs. Demande des obsèques religieuses, et dit au prêtre Jolly : "Ecrivez à mes vieux, et dites-leur que je suis mort courageusement, et en bon chrétien". 29 ans, cordonnier. A l'aumônier, il dit : "Votre religion, je n'en veux pas, votre Dieu m'a oublié, mais je peux le dire, vous, vous êtes un chic type, vous avez joué à la manille avec moi." Ecoute le prêtre avec attention et recueillement. Pour le reste, je n'ai rien à vous raconter. Le 04 octobre 1916, assassine le caporal Chabal et un autre tirailleur. Pleure quelques secondes, puis discute avec Me de Beaurepaire, son avocat. Membre d'un réseau de résistance, était exécuteur, et devait abattre plusieurs personnes trop pro-allemandes. Membres du commando Delta de l'Organisation Armée Secrète en Algérie, aux ordres du lieutenant Roger Degueldre, participent le 31 mai 1961 à Alger à une attaque au domicile du commissaire central adjoint Roger Gavoury, 50 ans, auquel il était reproché une trop grande dévotion envers la Ve République, lequel meurt poignardé à coups de couteau de parachutiste. Il demande un café, assiste à la messe avant de confier à l'abbé Degoix une médaille à remettre à sa mère, pour qu'elle fasse dire une messe pour lui. Quand on lui explique, il pâlit, verse quelques larmes et demande à faire des révélations : avoue le crime de Jeannette Melanini, et sa participation dans la mort des frères Cartucci, mais nie quelques autres accusations. Réunis pour la dernière fois à la chapelle où, détachés, ils entendent la messe et communient, les deux hommes s'embrassent et se pardonnent. Au magistrat qui lui demande s'il a des recommandations à faire ou un message à transmettre, il répond non, puis envoie l'aumônier Georget sur les roses : "Je n'ai pas besoin de vous ! Cela ne m'était jamais arrivé." Il l'égorge et l'éventre de six coups de couteau. Refuse d'abord d'entendre la messe, mais finit par l'accepter quand on lui propose en espagnol. 23 ans, maçon, soldat au 21e RI. PARRICIDE. S'entretient avec ses avocats, s'accuse d'un crime pour lequel deux frères, les Leca, ont été condamnés au bagne (Spada a malgré tout bénéficié d'un non-lieu dans cette affaire). Satyre assassin de la petite Marie Oillier, 8 ans, qu'il étrangla et viola à Goustranville le 04 juin 1933. A Labarthe-sur-Lèze, tue sa mère (71 ans) de cinq coups de hachette dans la tête le 27 novembre 1900. 33 ans, Algérien, ouvrier. 36 ans, Algérien. J’irai à la mort avec courage. Pendant qu'on l'attache, il pleure en silence. La pluie cesse quand les exécuteurs montent la machine, en face de la porte Fautras. David lui aussi est éveillé par la scène, et enfile un pantalon en voyant le procureur. 29 ans chacun, électricien et cultivateur, Annamites. Il doit être soutenu par les aides pour atteindre la guillotine. Il y a d'abord la mort de son beau-père, le fossoyeur François Bianqui, le 21 novembre 1871. Refuse rhum et cigarette. L'abbé Bacon lui fait embrasser le crucifix. Assis sur sa couchette, fume cigarette en attendant. Réveillé à 4h40. En tout cas, c'est malgré moi que vous m'accompagnez !" Satyre assassin de la petite Lucienne Schumacher, 7 ans, le 20 mai 1912, à Pompey qu'il noie dans la Moselle. Pas d'exécution à Montreuil depuis une soixantaine d'années. Tua - en plein jour - de 30 coups de couteau Edmond Roffé, 65 ans, employé d'octroi à Noisy-le-Sec le 21 mars 1919 pour voler 233 francs. En voyant la guillotine place de la Tour, se jette en arrière et se débat jusqu'à la chute du couperet. Conduit au greffe, prend un verre de vin qu'il ingurgite machinalement. Se confesse, entend la messe, communie. Refuse les secours de la religion, puis les accepte si on le porte (!) 31 ans, manoeuvre, Algérien. A la nouvelle terrible, répond : "Ah bon." Ils communient, fument une cigarette et boivent un verre de rhum. Pierre-Aimable Crochon est condamné à perpétuité. Dort profondément. Condamné d'abord à Nancy, puis lors d'un second procès à Chaumont (les Vosges étant en plein champ de bataille). Le 27 décembre 1909, viole et tue la bergère Clémentine Foucher, 15 ans, au Pouliguen. Tua le 22 novembre 1946 à Allassac, Jean-Baptiste Gaucher, chauffeur de taxi, pour le voler. Son officier faisant remarquer que c'est la seconde fois qu'il perd connaissance lors d'une exécution capitale, un journaliste lui rétorque acerbement : "Pas possible ! Arrêté le 08 février. On va loin ? Exécution sans histoire devant la prison : presque personne n'y assiste, les gens (près de 2.000 personnes) étant allés à tort devant le cimetère du Sud. Réveillé à 4h10. Le 28 septembre 1921, à Nice, tente de tuer de trois coups de marteau, Mme Marie Horessaroff, dite "Mme Frank", rentière russe, 67 ans, qui l'a surpris en train de cambrioler son appartement. Je m'en remets à la justice d'Allah." 31 ans, 30 ans et 27 ans, fournisseurs de marché noir. Après la toilette, se montre résigné. Parle vingt minutes environ avec son avocat Me Castelbon, refuse les secours de l'aumônier. Ferme et calme tout au long de la matinée : écrit une lettre à sa fillette. Cela les décontenançait tellement que « Stone Cold » gagnait tout le temps ! Jugés par le tribunal militaire siégeant au Palais de justice de Paris. Accepte une cigarette roulée. 35 ans, ouvrier fondeur. Réveil à 4h. Adieu Marguerite !". Réveillé à 3h45. En franchissant la porte - la guillotine est à un mètre à peine de celle-ci - crie "Au revoir !" Accepte les secours de la religion. Boit un verre de café, se plaint des liens trop serrés qui l'empêchent de respirer. Vous pouvez lier mes membres, vous ne lierez pas mon âme immortelle, et vous serez punis de ce que vous allez faire." Au greffe, Courcaud affirme son innocence, et refuse le verre de rhum. Il signe ce message : "Celui qui meurt ne ment pas !" 31 ans, soldat au 47e régiment d'artillerie de campagne. Continuant sa vie de fainéant, il décide de voler le coffre-fort de son père. puis est poussé sous le couperet. A la nouvelle, ne dit rien, joint les mains et demeure immobile. Ne donnera jamais sa véritable identité. Refuse d'assister à la messe, mais se confesse. Au greffe, interpelle le bourreau : "C'est vous, Deibler ? Condamné à 10 ans de travaux forcés le 25 juin 1952 pour viol et tentative de meurtre. Embauché comme tueur à gages par Mme Miglionico, née Marie Giral, l'épouse de sa victime - elle-même blessée à la main par une balle pour donner le change - et par Augustin, le frère de cette dernière, contre une somme de 50.000 francs. Assassine à coups de bûche et viole la veuve Albert, 44 ans, à Villers-le-Tourneur le 1er octobre 1937. Avait également abattu son compagnon de guerre, le résistant Paul Antoine Lambert, suite à un parachutage dans les bois de Grandris en juin 1944. Refuse les secours de la religion, ainsi que toute nourriture : "Pourquoi faire, puisqu'on va me couper la tête ?". Tua d'un coup de couteau dans la gorge Jean-Marie Zimmer, 74 ans, rue Aristide-Briand à Meaux, le 22 novembre 1943, pour lui voler 70 francs et des vêtements. La mère s'évanouit. Assassine à Seyssuel (Isère) avec trois complices un Algérien opposant au F.L.N. Redevient calme : "Mais qu'est-ce que c'est que cette façon de foutre les gens à la porte par un temps pareil ? Après cela, il se débarrasse du corps en le mettant dans un sac et en le jetant dans le canal du Rhône au Rhin. Foule assez dense (pas d'exécution à Digne depuis 63 ans). demande le chef à son lieutenant sans obtenir de réponse avant d'aller au greffe. Satyre assassin de Josette Fabre, 8 ans, fille de ses anciens patrons - il avait été licencié le matin-même pour son intempérence -, violée et poignardée au hameau du Mas d'Alègre, à Tournemire le 09 septembre 1934. Weidmann achève la victime d'une balle dans la nuque et lui vole 8.000 francs. Accompagné par l'aumônier de l'hôpital militaire jusqu'au bout. 47 ans, jardinier. Le 25 mars 1910, tua à Mézeray la Veuve Besland, 77 ans, rentière, avec la complicité de son frère Frédéric, condamné à perpétuité. Réveillé à 4h30. Arrivé place Bonne-Nouvelle, il reconnaît son frère et sa belle-mère et les regarde avec haine. Marche de la gendarmerie à la prairie où la guillotine est dressée, très fermement. Accompagné par l'abbé Maloiseau jusqu'à la guillotine, dressée place de l'Ancien-Hôpital, à 100 mètres de la prison, et va à la mort assez fermement. Estelle Jobin fut condamnée à perpétuité. Le 5 février 1871, dans son ivresse, Quillou commet la maladresse d'avouer son crime, et ce après avoir réglé de nombreuses dettes personnelles. Apparaît hors de la prison, le visage baissé, le corps plié en deux, pour éviter de voir le couperet. Fusillés au Polygone de la Garonne. 28 et 22 ans, Belges. Le chemin jusqu'à l'allée des Trois-Tunnels (cours Charlemagne) est long et à cause de la gelée, le fourgon ne peut rouler qu'au pas, ce qui fait que l'exécution est légèrement retardé. Aucune déclaration, refuse d'écrire. Le Vaineur dit : "Eh bien ! Pendant le trajet (18 kilomètres), prient, boivent du rhum, et Degroote fume une cigarette. Exécution rapide. Au greffe, refuse la cigarette et boit une demi-tasse de café au rhum. PARRICIDE, 20 ans, manouvrier. Fume quatre bouffées de cigarette, puis sa pipe qu'il a personnellement bourrée. A 5h30, il sort de la maison d'arrêt et parcourt les 25 mètres qui le séparent de la guillotine à pied, après avoir embrassé le crucifix une dernière fois. 32 et 33 ans, membres du FLN. Le bruit de la porte suffit à le réveiller. Au réveil, pousse des hurlements d'effroi, appelle sa mère. Réveillé à 3h. Le 03 juillet 1974, dans son pavillon de Marseille, villa Paradis, torture et viole de longues heures Elisabeth Bousquet, son ex-compagne, 21 ans, qui avait refusé de se prostituer pour lui et qui l'avait dénoncé à la police. Réveillé à 4h30. Vive notre seigneur Jésus-Christ ! Abat d'une balle dans la tête dans la côte de Bel-Air (banlieue de Charleville) Charles Martin, 63 ans, chauffeur de taxi, le 15 septembre 1948, pour lui voler son portefeuille contenant 23.000 francs et son taxi Peugeot 402. "C'est bon, au petit bonheur !" Réveillé à 5h30 par l'avocat général Liska. Au greffe, il fume cigarette sur cigarette, se plaint du froid, trouve la situation trop longue : "Fermez la porte !" Tua dans la nuit du 25 au 26 juin 1876 M. François Meurant, 65 ans, percepteur à Sivry et sa bonne Rosalie Broguez, 69 ans, respectivement de 19 et 18 coups de couteau. Le défenseur lui demande s'il veut qu'il écrive à sa mère : Kabouche répond oui en hochant la tête. Au premier jour du procès, Rissler tente de se suicider en se coupant le bras avec un couteau, mais il est désarmé à temps. Aucune révélation : affirme avoir dit toute la vérité. Blessé à Verdun, soigné à l'hôpital de Chaumont, s'échappe le 14 juillet 1916 et cambriole une maison, avant, dans la soirée, de blesser mortellement à coups de couteau l'artilleur Gabriel Richard, 29 ans, qu'il venait de croiser dans la rue. Va à la chapelle, entend la messe et communie. Les deux hommes vont à l'échafaud sans faire d'histoires. Un des aides s'avance : Sévin recule avec horreur, croyant que l'adjoint voulait être embrassé à son tour. Refuse cordial et cigarette, mais demande à écrire un petit message à sa fiancée, à qui il dit adieu et la prie de ne pas oublier ses parents. Réveillé trop tôt par rapport à l'heure légale (faute de messe et d'éventuelles déclarations), doit attendre au greffe. 29 ans, transporteur à Poitiers. Chacun d'eux écrit une lettre. Crépinge, 21 ans, chaudronnier à Iwuy abat d'un coup de revolver, le 29 août 1942 à Thun-l'Evêque, l'instituteur Charles Lesnes, secrétaire de mairie, alors qu'il attaque avec trois complices l'hôtel de ville afin de dérober des titres de ravitaillement. Sauvez-moi !" Etre quelqu’un qui a confiance en soi, se sent à l’aise partout, ne veut pas dire que vous devez devenir un pilier de cocktail ou un habitué des soirées, et devenir pote avec tout le monde. Refuse rhum et cigarette : "Je n'ai pas peur, je n'en ai pas besoin. Il est arrêté le lendemain, après une battue effectuée par 500 hommes. 33 ans, ouvrier agricole. Entend la messe de l'aumônier Carré, puis communie. Sorti le 15 juillet précédent de la centrale d'Eysses où il venait de purger 5 ans pour vol. Réveil à 5h. Assomment, ligotent sur son lit et asphyxient Elysée Brès, 56 ans, tenancier du "Coin Fleuri" à Aix-en-Provence dans la nuit du 05 au 06 février 1948 pour lui voler trois revolvers, quelques bijoux sans valeur, des savons, et quelques billets de banque. M.Roch reçoit un jet de sang en plein visage qu'il essuie avec son mouchoir... uniquement après avoir fait le tour de la machine pour voir si tout est en ordre. Ils le plièrent en deux pour l'enfermer dans un sac et le jeter le long de la voix ferrée Lyon-Genève. Il y a cinq minutes que je pensais qu'il faudrait en finir bientôt !" Pendant la lecture de la sentence, dit : "Non, ce n'est pas possible ! Butin du vol : 300 francs. 46 ans, hongreur. On gracie Soleilland, et puis moi... voilà la justice !" Va à la chapelle entendre la messe. Très calme. A propos, quel jour sommes-nous ?" - Oui, lieutenant ? Il avait été engagé par Mme Boucher pour ce crime contre deux tonneaux de vin. Son complice, Arrar S., est condamné à vingt ans de prison. Le 18 janvier 1905, les frères Pollet blessent à coups de tisonnier à Calonne-sur-la-Lys le fermier Deron. Attaché au poteau, entend la sentence. A compter de décembre 1915 et avec Berthe Héon, 55 ans, femme de ménage, veuve, c'est dans la villa "L'Ermitage", à Gambais, que se dérouleront les crimes. Tentant d'assommer le commissaire du gouvernement, il ne fait qu'atteindre un gendarme au visage. Quelques bravos retentissent dans le public amassé sur le cours Suchet. Arrivé place du marché, s'agenouille pour recevoir la bénédiction du prêtre. Avisant Louis Deibler, il lui propose un verre de rhum, que le bourreau refuse d'un mot sec. Réveillé à 4h27. Conduit au greffe, s'énerve, traite juges et exécuteurs de "dégueulasses". 29 ans. Arrivé la veille, Deibler refuse de monter la guillotine dès la fin de soirée. La salve l'atteint du côté gauche. Parle dix minutes à l'aumônier. Quand on lui demande s'il a d'ultimes déclarations, il répond : "A vous, Monsieur le procureur, je n'ai plus rien à dire." S'habille seul. Non, je n'ai pas peur... Je n'ai jamais eu peur de ma vie !" et fume cigarette sur cigarette. Abat à coups de revolver, le 7 décembre 1930 au camp de la Valbonne (Ain) l'adjudant Lavague, blesse le tirailleur Ben Tahar et Mme Cartier, épouse d'un sergent, non sans tenter de la violer.

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