adrien gindre wikipédia

En septembre 2016, il rejoint LCI et devient en 2018 le chef du service politique du Groupe. En vue des élections européennes de 2019, il propose de faire liste commune avec François Asselineau (UPR) en lui apportant une contribution de 300 000 euros[234]. Florian Philippot passe son enfance à Bondues[26], dans la banlieue de Lille, puis fait ses études au lycée privé de Marcq à Marcq-en-Barœul[27],[28] avant d'entrer à Paris au lycée Louis-le-Grand en classe préparatoire économique et commerciale[26]. Au Parlement européen, il quitte le groupe Europe des nations et des libertés pour rejoindre le groupe Europe de la liberté et de la démocratie directe, présidé par le Britannique Nigel Farage[170]. Dans son sillage, plusieurs élus quittent le Front national, notamment les députés européennes Sophie Montel et Mireille d'Ornano[161],[162],[163]. Florian Philippot adhère au Front national en octobre 2011[44]. Il passe le concours de Sciences Po, mais échoue à l'oral[33]. L'embauche par Marine Le Pen de son frère Damien comme assistant parlementaire, dont le profil est moins clivant au sein du parti, est également considérée comme un signe de cette dégradation de leurs relations[15],[149]. Le parti dépose finalement une liste commune avec l'association Jaunes et citoyens, favorable au mouvement des Gilets jaunes[183],[184]. En août 2015, Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop, relève que « le score de « bonnes opinions » de Florian Philippot parmi les sympathisants frontistes [est] sensiblement plus faible » que ceux de Marine Le Pen et Marion Maréchal-Le Pen, les deux autres principales figures du FN, ce qui s'explique « par un double handicap » : « un déficit de notoriété parmi les proches du FN » et une mauvaise opinion plus importante à son sujet[63]. https://tf1-et-vous.tf1.fr/votre-tele/animateurs/adrien-gindre Le directeur du Front national de la jeunesse, Julien Rochedy, indique avoir quitté le FN notamment en raison du poids de Florian Philippot et de l'entourage de celui-ci[121]. Il souhaite ramener l'âge de départ à la retraite à 60 ans[30], fait retirer la suppression de l'ENA du programme du FN[204] et défend l'héritage du Front populaire[205]. Arrivant en cinquième position avec 9,70 % des voix, sa liste est éliminée dès le premier tour. Il démissionne de cette fonction début janvier 2016, après avoir été élu conseiller régional[88],[89]. Louis Aliot, vice-président du FN, affirme que « ce n’est pas Florian Philippot qui a amené le républicanisme au Front national, Marine [Le Pen] défend[ant] cette ligne depuis 2002 »[123]. Il se montre très critique sur la gestion de la pandémie de Covid-19 par le gouvernement français. Durant ses études à HEC, il effectue un stage au sein de l'entreprise de sondages politiques TNS Sofres[30], où il occupe ensuite un poste. Après avoir été battu aux élections législatives de 2012 et aux élections municipales de 2014 à Forbach, il est élu député européen lors des élections européennes de 2014 et conseiller régional du Grand Est à l'issue des élections régionales de 2015. Le rôle de l'État n'était pas exprimé de la même manière, mais il faut reconnaître qu'il a été le premier à dire que l'euro n'était pas viable. Fin novembre 2017, il obtient le ralliement du député José Évrard[173]. TV | Adrien Gindre, bfm tv, bfmtv, lci- Le 29 septembre, il annonce que l'association Les Patriotes est devenue un parti politique[171] et qu'elle a enregistré 3 000 adhérents depuis sa création, en mai[172]. Qui est Tyto Alba ? La ligne défendue au sein du Front national par Florian Philippot est qualifiée de « sociale-souverainiste »[191],[192] ou de « nationale-républicaine »[193],[194]. Formation et carrière dans l'administration, Engagement sous pseudonyme auprès de Marine Le Pen, Ascension dans le sillage de Marine Le Pen, « autour de la table des Comités étudiants Chevènement 2002 », « signé un document soutenant [sa] candidature », « paraph[é] en même temps le texte d’un « comité Grandes Ecoles », produit dérivé de la même campagne de Chevènement », « s’il « soutient » Jean-Pierre Chevènement en 2002, c’est parce que la droite, alors dirigée par, « pas très démocratique, ni républicaine », « coup de foudre, amical et professionnel », « par sa capacité à pondre des notes sur tous les sujets », « c'est surtout en l'abreuvant de sondages que le jeune homme va se rendre indispensable à sa supérieure », « n'était pas aussi précis et performant que celui de Marine. Candidat aux législatives dans la 1re circonscription de l'Aisne, il ne réussit pas à se faire élire et devient brièvement assistant parlementaire de Marine Le Pen[15], quittant son poste peu après le départ de son frère du FN[16]. Exclu du FN en 2015, il attaque Florian Philippot, lui reprochant un noyautage clanique du FN et voyant en lui le principal responsable de sa sanction, une affirmation étayée par Marine Le Pen[122],[123]. Selon un classement établi par Le Figaro, il est la 4e personnalité la plus invitée dans les matinales entre le 21 août 2017 et le 13 juillet 2018, avec 36 passages[175],[176]. Il défend la stratégie « d'élargissement continu des sujets traités par le FN », qui avait conduit le parti à renforcer son discours sur des thématiques comme l'école, la santé, les banlieues, et il met en garde sur un repli aux fondamentaux du FN, comme la sécurité et l'immigration, une stratégie prônée par d'autres cadres du parti[144]. Le rôle de l'État n'était pas exprimé de la même manière, mais il faut reconnaître qu'il a été le premier à dire que l'euro n'était pas viable. Celui-ci lui adresse une fin de non-recevoir, le qualifiant de « fasciste »[231],[232]. À tel point que l'on peut résumer la situation du FN selon cet adage : si Marine Le Pen préside le Front national, Florian Philippot le dirige »[69]. » Concernant sa filiation politique, Florian Philippot déclare : « De Gaulle, c'est pour moi la référence absolue[2]. Celle-ci lui reproche son manque d'investissement lors de la campagne législative[99] et son initiative de lancer sa propre association[146]. Après lui avoir dit qu'il le soutenait, il indique avoir acté leur désaccord sur leur rapport à la nation[26]. Après l'élection présidentielle, il projette de créer un mouvement gaulliste avec deux autres jeunes issus de la campagne de Jean-Pierre Chevènement[38]. L'Obs relève que « la concurrence entre les deux stratèges, [Olivier] et Philippot, va aller crescendo tout au long de la campagne. Or, d'après Laurent de Boissieu, « sur cette thématique, Florian Philippot est minoritaire à la base du parti », plutôt acquise aux thèses de la mouvance identitaire[68]. Deux jours plus tard, tout en dénonçant une atteinte à sa vie privée, Philippot confirme son homosexualité[24]. Biographie Adrien Gindre avec Le Guide du Pouvoir. Éric Richermoz gère quant à lui sa chaîne YouTube[106],[107]. Lorrain de Saint Affrique estime que « Jean-Marie Le Pen ne [s'est] jamais autant lié à quiconque comme sa fille semble l'avoir fait avec Philippot »[68]. Au contraire, Nicolas Lebourg affirme qu'expliquer les résultats électoraux du FN pendant cette période « par l'adoption d'une ligne sociale-souverainiste est une fable. Il est notamment en charge de la couverture de l’Elysée, du Front National ou du Parti Socialiste. En 2001, il intègre l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC), dont il sort diplômé en 2005. Selon Jean Robin, Florian Philippot est, de mai 2009 à avril 2011, blogueur associé à marianne2.fr, site internet du magazine classé à gauche Marianne, Adrien Gindre est nommé rédacteur en chef du service ... Balance ton post : qui est Geoffroy Lejeune, le chroniqueur ... Invités : après le coronavirus, la politique reprend ses droits, on en parle avec Yaël Goosz (France Inter), Astrid de Villaines (HuffPost) et Adrien Gindre (TF1) Florian Philippot se qualifie pour le second tour avec 26,34 % des suffrages exprimés face au socialiste Laurent Kalinowski (37,45 %), tandis que le député UMP sortant Pierre Lang est éliminé dès le premier tour[79],[70]. Il s'agit chronologiquement de la troisième des quatre chaînes d'informations accessibles gratuitement par la TNT en France, hormis la TNT outre-mer. Se réclamant du gaullisme et du souverainisme, il soutient Jean-Pierre Chevènement à l'élection présidentielle de 2002, puis adhère en 2011 au Front national (FN). D'abord sympathisant du RPF de Charles Pasqua[38] à qui il rendra hommage à sa mort en 2015[39], il dit être séduit par la liste conduit par celui-ci aux élections européennes de 1999[2]. ». D'une manière générale, Florian Philippot affirme que le FN détient le monopole d'expression du souverainisme en France, déclarant en 2013 : « Nous incarnons la question souverainiste, nous n'avons pas de concurrence. Peu après des sites de la « blogosphère d'extrême droite » — comme Jeune Nation — révèlent l'identité de son partenaire[25]. Selon l'historien Nicolas Lebourg, l’espace politique de Florian Philippot est celui du « souverainisme intégral »[196]. Dès 2014, une partie de l'appareil frontiste exprime son ressentiment à l'égard de Florian Philippot, en particulier en raison de son influence sur la ligne économique du Front national, jugée étatiste, et de son omniprésence dans les médias[118],[119] et auprès de Marine Le Pen. Le politologue Jean-Yves Camus estime que « sa conviction centrale est l'europhobie » et que « le reste varie »[195]. [...] Il se prend d’une passion subite et compulsive pour les colloques mensuels de la Fondation Res Publica, fondée en 2004 par Chevènement, où il tente de s’asseoir au premier rang à portée des objectifs photographiques »[43]. Bien que Florian Philippot réfute d'abord un tel rôle[9], Damien Philippot conseille Marine Le Pen dès la campagne présidentielle de 2012[13]. À plusieurs reprises à partir de 2012, il se rend à Colombey les Deux Églises pour fleurir la tombe du général de Gaulle[211]. Son activité se limite essentiellement à des questions écrites (au nombre de 125), qui relèvent du « niveau zéro de l’activité parlementaire » selon Aline Robert, éditrice en chef d’EURACTIV[189]. En 2014, après la commémoration de la rafle du Vélodrome d'Hiver par le Premier ministre Manuel Valls, qui y reconnaît l'implication de l'État français, Florian Philippot accuse le gouvernement d'« entretenir la haine de la France » en arguant que « la France était à Londres et il y avait un pays occupé, non pas complice de l'occupant mais victime de l'occupant[215]. Les critiques publiques envers Florian Philippot se multiplient après l'échec à l'élection présidentielle de 2017 de Marine Le Pen, qu'il a régulièrement conseillée[130],[131],[132], et le mauvais score réalisé par le Front national aux élections législatives qui suivent[133]. Comme Marine Le Pen, il n'a pas manifesté contre la loi ouvrant le mariage aux homosexuels ; il a également critiqué les élus qui ne voulaient pas appliquer la loi[44]. Le 18 septembre 2017, le bureau politique du FN se focalise sur son cas et Marine Le Pen lui demande, sur accord de la majorité des membres, de choisir entre son association et le parti, évoquant un « conflit d'intérêts » avec sa fonction de vice-président du parti[152],[120]. Il est tête de liste FN pour les élections régionales de 2015 en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine[91]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au second tour, tout comme lors de l'élection présidentielle de 2007, il déclare avoir mis dans l'urne un bulletin blanc, marqué « non à l'euro »[44]. Ces prises de position, inédites pour un responsable de premier plan du Front national, lui attirent les critiques à la fois des anti-gaullistes du parti et des gaullistes d'autres bords de l'échiquier politique[213],[214]. Il y a 31 ans, l'Assemblée nationale votait la dépénalisation de l'homosexualité chez les adolescents consentants. et par la TNT gratuite. Selon nos informations, la journaliste a été choisie, par la direction de la chaîne emmenée par Fabien Namias, pour succéder à Florian Philippot se montre très critique envers l'Union européenne et l'euro[198],[199]. Il dirige désormais les pôles « communication », « société civile » et « veille et prospective » — cette dernière appellation étant une nouveauté et désignant une cellule chargée notamment de décrypter les programmes politiques des partis de gauche radicale européens tels que SYRIZA en Grèce ou Podemos en Espagne[64]. Après avoir créé Les Patriotes, Florian Philippot affirme être le « seul » à promouvoir le Frexit, estimant que l'Union populaire républicaine de François Asselineau « n'a pas de programme sur tout le reste » et que Debout la France est « sur un programme euro-réformiste »[201]. Florian Philippot et Mireille d'Ornano perdent ainsi leurs sièges au Parlement européen[186],[187]. Il se profile ainsi parmi les mouvements d'opposition au port du masque durant la pandémie de Covid-19[235]. Nous couvrons tout le champ du camp patriote », « très heureux de la proposition lancée il y a quelques semaines par Nicolas Dupont-Aignan de discuter avec, « travailler avec tous les patriotes de gauche et de droite de bonne volonté ». Nous sommes à votre écoute ! ». Dans son mémoire de fin d'études, Le Modèle fédéral belge et l'Effet d'une éventuelle explosion de la Belgique sur l'avenir de l'Union européenne, il avance différentes prospectives pour l'avenir de la Belgique[29]. Selon Florian Philippot, le nom du parti « fait peur » ; il remet également en question le discours du parti sur l'immigration en ces termes : « Sommes-nous vraiment aussi clairs et précis qu’on le croit sur [ce sujet] ? Le petit ami homosexuel de Florian Philippot alimente les conversations sur la Toile. Il a toujours pratiqué la politique du "avec moi ou contre moi" »[120]. Sa liste arrive en tête (28,98 % des voix) et il est élu député européen. La liste qu'il conduit arrive en tête au premier tour, avec 36,07 % des voix, dix points devant la liste de droite conduite par Philippe Richert et vingt points devant la liste socialiste menée par Jean-Pierre Masseret[94]. Nous couvrons tout le champ du camp patriote »[228]. Ses détracteurs mettent aussi en cause son tempérament[33] ; d'après Nicolas Lebourg, « il a humilié des gens pendant des années. Plus que le produit de cette stratégie, ils résultent de plusieurs facteurs : les erreurs et les difficultés des autres partis, une forte demande autoritaire dans la société par exemple »[75]. Pourtant, il se présente aux élections législatives de 2012 dans la sixième circonscription de la Moselle, déclarant avoir été « parachuté, comme tous les résistants »[77],[78]. Florian Philippot soutient notamment le principe de la souveraineté monétaire, qu'il juge non négociable car « la souveraineté nationale ne se découpe pas »[197]. Cet échec, alors que le FN a fait élire huit députés, est attribué à son absence de campagne sur le terrain[98],[99]. Consécutivement, il prépare à l'université Paris-Dauphine le concours de l'École nationale d'administration (ENA), qu'il réussit[26]. Il se déclare « horrifié par les privatisations » intervenues sous le gouvernement Édouard Balladur. Il se porte candidat aux élections municipales de 2020 à Forbach[190]. S'il dissocie islam et islamisme radical[218], il affirme « que c'est une évidence qu'il y a un lien entre l'immigration et la montée du fondamentalisme islamique »[219]. Il quitte le FN pour rejoindre Les Patriotes à sa création, en 2017[5]. L’homme qui accompagne Florian Philippot sur des photos volées interpelle « Closer » Billet de blog. Florian Philippot est le fils d'une institutrice, Marion Dondaine[1], et d'un directeur d'école primaire publique[2], Daniel Philippot. Il reste conseiller régional du Grand-Est[187]. Chargé de la stratégie et de la communication jusqu'au 20 septembre 2017. Alors qu'elle proposait en 2012 de faire passer le nombre d'entrées légales d'immigrés sur le territoire français de 200 000 à 10 000 chaque année, son programme présidentiel de 2017 prévoit un « solde migratoire annuel de 10 000 », soit un nombre sensiblement identique à celui de la présidence de François Hollande (environ 200 000 départs contre 210 000 arrivées légales)[223]. Après cette défaite, il devient conseiller municipal de Forbach[87]. En dehors de l'école, il mène en tant qu'indépendant des enquêtes partout en France pour contribuer à payer ses études[32]. Proche de Marine Le Pen, il est souvent présenté comme son « éminence grise » et son conseiller le plus influent[65]. En 2018, son compte Twitter compte plus de 179 000 abonnés, ce qui constitue une « caisse de résonance » selon Le Journal du dimanche[177]. Le journaliste Laurent de Boissieu considère qu'il a apporté au FN « une cohérence entre la dénonciation du libéralisme extérieur (protectionnisme face au libre-échangisme mondial) et une dénonciation du libéralisme intérieur (interventionnisme social-étatiste contre la remise en cause du modèle social français), en rupture avec le programme de libéralisation interne défendu hier par Jean-Marie Le Pen et aujourd'hui [en 2015] par Marion Maréchal-Le Pen[203]. Adrien a 6 postes sur son profil. Les commentaires sont modérés a posteriori sur la base des signalements. D'après Le Monde, il avait pour objectif de faire du FN un parti souverainiste rassemblant tous ceux ayant voté « non » au référendum sur le traité constitutionnel européen en 2005, qu'ils soient de droite ou de gauche[196]. Après le recrutement d’Yves Calvi. Il est par ailleurs le webmaster du Rassemblement pour l'indépendance et la souveraineté de la France (RIF) au début des années 2000[40]. En décembre 2016, il rejoint publiquement l'équipe de campagne de Marine Le Pen pour l'élection présidentielle[14]. Sophie Montel, députée européenne, est également proche de lui[105]. Par ailleurs, aucun de ses soutiens n'est élu député[100]. Articles sur Adrien Gindre (3) Coronavirus : le gouvernement a péché par excès de prévoyance. Le Monde présente Florian Philippot comme « le patron d’une PME qui s’échine à modifier le logiciel du Front national. Le 8 avril 2011, lors d'un entretien pour Le Parisien-Aujourd'hui en France, il se fait passer, sous le pseudonyme d'« Adrien »[41], pour un haut fonctionnaire du ministère des Finances qui « fait profiter Marine Le Pen de son réseau, des hauts fonctionnaires et des fiscalistes qui l'aident à développer sa culture économique » et qui « sort des rapports confidentiels de l'Inspection générale des finances »[52]. Le ministre de la justice était l'invité de LCI ce vendredi matin et a répondu aux questions d'Adrien Gindre sur la radicalisation en prison. Selon Laurent de Boissieu, il fait partie des responsables présents « autour de la table des Comités étudiants Chevènement 2002 » pendant la campagne pour l'élection présidentielle en 2002[38] mais, selon Gaël Brustier, il est absent des organigrammes de la campagne du Mouvement des citoyens, le parti fondé par Jean-Pierre Chevènement et auquel Florian Philippot n'a pas adhéré[43]. Rédaction du Monde.fr. Il admet n'avoir avant jamais voté pour le FN et reconnaît qu'il n'aurait pas pu travailler pour celui-ci lorsque Jean-Marie Le Pen le dirigeait, notamment en raison de son programme économique qui, selon lui, « n'était pas aussi précis et performant que celui de Marine. Mais ce que je note surtout sur cette histoire : - Dans les photos de Closer, on ne les voit jamais s'embrasser, ni se tenir la main. WikiZero Özgür Ansiklopedi - Wikipedia Okumanın En Kolay Yolu La liste qu'il conduit arrive en tête au premier tour (35,7 % des voix), puis recule en pourcentage au second (35,2 %) dans le cadre d'une quadrangulaire ayant permis l'élection du candidat socialiste[86]. », « Adrien, haut fonctionnaire à Bercy et conseiller de Marine Le Pen », « Marine Le Pen dévoile l'équipe de campagne dirigée par un jeune énarque », « F. Philippot devient vice-président du FN », « F. Philippot envisage Freyming-Merlebach », « À Forbach, le parachutage du FN dans le sens du vent », « La région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine donne un iPhone et un iPad à ses 169 conseillers régionaux », « Florian Philippot candidat aux Européennes dans l'Est à la place de Bruno Gollnisch », http://blog.francetvinfo.fr/derriere-le-front, « Florian Philippot : La vie sans le FN - Déshabillons-les (28/10/2017) », « FN: Le Pen maintient Philippot vice-président mais lui retire sa « délégation », « Philippot : "Bien sûr je quitte le FN" », « FN. En juin 2014, lors des grèves de la SNCF, il soutient les grévistes, réfutant l'argument que la libéralisation du rail soit synonyme de baisse des prix pour les usagers[206]. Lui indique qu'il « avai[t] compris depuis quelques semaines que la soi-disante [sic] refondation du FN cachait en réalité un rétrécissement, un retour en arrière, que le Front allait se transformer en sorte de MNR », faisant allusion à l'influence croissante des anciens mégrétistes au sein du FN[159]. De ce que je peux voir, je pense qu'il s'agit d'Adrien Gindre. Lors du référendum de 2005, il fait campagne contre le traité établissant une constitution pour l'Europe[26]. Il devient alors la personnalité du FN la plus présente dans les médias audiovisuels après Marine Le Pen[27], voire la personnalité politique la plus invitée tous partis confondus[57]. Le 20 septembre, compte tenu du refus de Florian Philippot, Marine Le Pen lui retire la délégation « stratégie et communication », dont il était chargé en tant que vice-président du parti[153],[154],[155],[156],[157]. Son association Les Patriotes, lancée en mai 2017, est dotée de trois vice-présidents : Sophie Montel, Franck de Lapersonne, comédien ayant rallié le FN, et Maxime Thiébaut, ancien directeur adjoint de cabinet de Nicolas Dupont-Aignan à Debout la France[117]. Par ailleurs, Florian Philippot prend la tête de liste de son parti aux élections européennes de mai 2014 dans la circonscription Est, qui comprend cinq régions[90]. Par ailleurs, Florian Philippot et d'autres cadres du FN comme Wallerand de Saint-Just soutiennent et obtiennent, en 2016, l'arrêt du défilé traditionnel du FN du 1er mai en l'honneur de Jeanne d'Arc, une décision perçue comme une « trahison » par Jean-Marie Le Pen[124]. Marine Le Pen évoque à son sujet « un excellent résultat »[27]. Il dénonce également la place prise au sein du FN par la mouvance identitaire, dont des représentants sont selon lui « nommés un peu partout dans les fédérations » depuis deux ans[160]. Et ses comptes sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Youtube, Instagram. Il se réclame du gaullisme, déclarant que le général de Gaulle est « un exemple » et « une référence absolue » dans son engagement politique »[208],[209]. Il est ensuite intégré aux réunions de travail de Marine Le Pen[34], qu'il impressionne « par sa capacité à pondre des notes sur tous les sujets » selon les journalistes Abel Mestre et Caroline Monnot[47], et transmet au FN des documents du ministère de l'Intérieur où il travaille, fait passible d'une radiation de l'administration[48]. Il propose une alliance à François Asselineau, président de l'UPR, qui la refuse[182]. En septembre 2017, il participe à une opération de blocage contre la réforme du code du travail malgré les consignes du Front national, qui n'appelait pas à manifester[207]. Il devient par ailleurs l'assistant parlementaire de Mireille d'Ornano, députée européenne Les Patriotes[17]. À la même date, il est nommé directeur stratégique de la campagne présidentielle de Marine Le Pen[53], poste auquel Philippe Olivier[47] ou Nicolas Crochet avaient d'abord été pressentis[13],[54]. Des militants venus de la gauche, bien souvent, qui ont rédigé un nouveau calendrier : l’an I se situe au moment de la prise de pouvoir de Marine Le Pen et de son bras droit, en 2011 »[101]. Sa ligne « sociale-souverainiste » est accusée d'avoir détourné de Marine Le Pen les électeurs du premier tour de François Fillon en cherchant à rallier ceux de Jean-Luc Mélenchon, qui n'ont été finalement que 7 % à se reporter au second tour sur Marine Le Pen (contre 20 % pour les électeurs de Fillon)[134]. Au contraire, la presse signale une contre-performance, en particulier face à Marion Maréchal-Le Pen qui est présentée comme sa rivale, tant sur le plan personnel qu'idéologique[59],[60],[61],[62]. Séduit par les discours de Marine Le Pen lors de la campagne pour les élections européennes de 2009[34], en particulier par son « discours social »[2] et le rôle qu'elle entend donner à « l'autorité de l'État », Florian Philippot la rencontre dans un bar près de la porte de Saint-Cloud[45] avant les élections, au printemps, par l'entremise du souverainiste Paul-Marie Coûteaux[36] et en présence de son frère Damien ainsi que de l'éditeur Jean Robin[46].

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